Dans la tranquillité trompeuse de la ville d'Ewing aux États-Unis, Iris, confinée à la bibliothèque, est plongée dans ses révisions. À des kilomètres de là, un mercenaire affronte le froid tranchant de la nuit, aussi glaciale que le cadavre qu'il vient d’enterrer.
Ils n’ont rien en commun, pourtant tous deux ont le même objectif : amasser assez d'argent. Iris, pour payer ses frais de scolarité à l'université, le mercenaire, pour mener à bien sa mission.
Mission dont elle est la cible.
Désormais, son existence est liée à celle de cet homme, une connexion qui éveille en lui curiosité et désir.
Arrachée à la vie qu’elle a toujours connue, la jeune étudiante se retrouve à la merci du mercenaire dont l’impulsivité a forgé la réputation, celui qui a été façonné pour tuer…
Celui qu’on appelait Lakestone.
Sabrina
15/11/2025
J’ai adoré l’intrigue et la magnifique interprétation. Bravo.
Emma
01/11/2025
Je viens de terminer Lakestone, et j’en ressors à la fois apaisée et percutée. Ce roman m’a réconciliée avec l’univers de Captive, auquel il est directement lié. On y retrouve certains personnages de manière brève, mais suffisante pour créer un fil explicite entre les deux histoires. C’est comme si Laura Swan avait voulu refermer les non-dits de Captive tout en nous offrant une œuvre plus aboutie. Ici, tout semble mieux écrit, plus cohérent, plus construit. L’univers gagne en profondeur et en équilibre. Ce que j’ai particulièrement aimé, c’est la manière dont l’autrice explore le lien entre Iris et K. Leur relation ne cherche pas à être idéalisée, elle reste dure, honnête, presque brute. Il y a dans leurs échanges une tension réelle, mais aussi une tendresse fragile qui rend le tout profondément humain. Je me suis retrouvée dans les deux, dans leur force et dans leurs failles. Et puis Jacob… ce personnage apporte une douceur inattendue, une présence stable, presque une encre qui empêche le roman de basculer totalement dans l’ombre. Il incarne la réalité, la bienveillance tranquille qui rend l’ensemble plus crédible tout en gardant ça part de sombre. La fin m’a laissée sur un léger choc, de ceux qui font battre un peu plus fort le cœur… et une envie de découvrir la suite. S’il y a bien un point que je reprocherais, c’est cette petite tendance à la répétition, déjà présente dans Captive mais bien moins marquée ici. Certains surnoms ou phrases reviennent trop souvent, comme un tic d’écriture qui finit par alourdir la lecture. Mais cela n’enlève rien à la qualité du récit ni à la profondeur de ses émotions. Lakestone est un roman fort, mieux maîtrisé que son prédécesseur. Il parvient à faire ce que peu de dark romances réussissent : mêler la douleur et la beauté, la brutalité et la vérité. J’ai aussi beaucoup aimé le soin apporté aux détails, comme la playlist que Sarah Rivens partage au début du livre. Elle nous plonge dès les premières pages dans l’ambiance de son univers, comme une passerelle sensorielle entre la lecture et l’émotion.
Nawin
23/10/2025
Il est cool parce que y’a plus de coter relation amicale et vie de personne kidnapper que de Romance mais le mec est hyper chiant
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