Extrait : Le coucher du coq. Muezzin bigarré des minarets de l'heure, Debout sous la coupole ardente de l'été, Il a mêlé son hymne aux hymnes de clarté Que le jour éclatant chante aux vieilles demeures. Parmi l'aiguail perlant les frondaisons qui pleurent Il a dressé l'orgueil de son cimier denté ; Et ses ergots sanglants épiquement plantés Sont deux mortels défis aux rivaux qui demeurent."