Sophie Fédy est atteinte de sclérose en plaques. Poussée par un besoin viscéral d’écrire, de se confier, elle a compris que ce « journal » était le prolongement des conversations qu'elle ne pouvait plus avoir avec sa mère, décédée brutalement. Elle veut aussi témoigner, parce que la sclérose en plaques est peu connue, parce qu’elle fait peur.