« J’ai toujours pensé que la poésie était un baume pour les cœurs affligés. Qu’elle soit en vers ou en prose, elle est une fenêtre où les événements du quotidien sont apaisés. C’est une vague qui transporte le réel en des lieux plus sereins. Elle adoucit notre vie et les mots choisis sont des onguents que l’on dépose sur des blessures. Elle relativise parfois des circonstances, qui sont les épreuves que l’on doit traverser, car tout ce qui nous arrive n’est pas anodin. Elle est une musique douce qui câline l’esprit comme on berce un enfant. Tout est dans le rythme, il n’y a pas d’écueil, mais parfois elle peut dénoncer à demi-mot les injustices de ce monde. »
C’est ainsi que François Veillon s’exprime à travers ce premier recueil publié aux éditions Bookless, « Mélodies Vespérales » composé de cinquante poèmes. Il vous invite à vous en délecter à l’infini, la poésie étant un bon remède à la mélancolie.
