Née d’un père algérien et d’une mère québécoise, l’auteure cherche sa propre voie/voix, dans le labyrinthe du concept de l’identité.
Une petite fille construit sa famille de papier dans le labyrinthe des origines. Énigmes et vérités. Absences et masques. Le poème est un lieu de force et d’ancrage.
Métissée assume le risque des frontières invisibles : fragmenter le monde, identités réelles, plurielles ou fantasmées.
Point de vue de l’autrice
Il s’agit de ressusciter les fantômes, les Autres en soi, de rendre visible l’invisible, de palper les trous et les ombres. C’est une oeuvre d’intégration des parts présentes et absentes d’une histoire et d’un désir, d’où le
titre Métissée.