Les découvertes humaines sont ponctuées du cri « EURÊKA » à l’image de celui lancé par Archimède au sortir de son bain. Certaines découvertes ont pu dépasser les attentes de leurs auteurs.
Becquerel en 1896 ne pouvait penser que l’élément radioactif qui avait troué sa poche serait responsable de cataclysme 50 ans plus tard. Mendel en 1866 en découvrant les lois de l’hérédité en se livrant au mariage des petits pois ne pouvait s’imaginer qu’il créait une science capable du meilleur et du pire, que des généticiens dévoyés utiliseraient sur des embryons humains. Le transhumanisme n’est pas loin. Résistons pour éviter que la mystique de la transcendance laisse la place à celle du scientisme.
L’avenir de l’espèce humaine n’est pas nécessairement en enfer. L’espèce humaine mérite beaucoup mieux.
