Le désamour constitue la pointe acérée de ce roman : nécessité pour certains des protagonistes de se défaire de ce terrible fardeau familial. Cette lutte est bien sûr, pour la plupart, inconsciente et devient, à l’âge adulte, un véritable handicap social.
Mais il existe un antidote au poison « désamour », c’est tout simplement l’Amour.
Un long et difficile combat.
Qui va gagner ?