La «Préface», oeuvre a part entiere, fait date dans l'histoire littéraire. Sur un ton enlevé, perfide et caustique, l'auteur attaque les bien-pensants, représentants de la tartufferie et de la censure, et ceux qui voudraient voir un côté «utile» dans une oeuvre littéraire, alors que l'art, par définition non assujetti a la morale ou a l'utilité, échappe a la notion de progres pour ne s'allier qu'a celle du plaisir.
Le roman lui-meme, en grande partie épistolaire, nous parle avant tout de l'Amour, du Sexe, de la Femme, de l'Homme, éternels sujets...