Quarante tonnes, c’est la quantité d’aliments que nous ingérons en moyenne durant toute notre vie, à raison de trois à cinq prises alimentaires par jour… Comment ne pas imaginer que cela puisse avoir un impact sur ce que l’on est ? Hippocrate le disait parfaitement déjà en 459 avant J.-C. : « Nous sommes ce que nous mangeons ».
Or, l’objectif de vie de tout un chacun n’est-il pas de vieillir en bonne santé ?
Mais si s’alimenter de mauvaise manière rend effectivement sensible à diverses affections, plus ou moins graves, nous pouvons nous demander comment ce processus de malbouffe s’est insidieusement installé.
Puis, il sera utile de comprendre de quelle manière l’environnement y a été si favorable, pour finir sur une note hautement positive d’un état des lieux du moment, partant du principe que chacun d’entre nous peut, s’il le souhaite, être totalement acteur de son bien-être.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Au départ, victime d’une relation à l’alimentation plutôt complexe, et dans un souci permanent d’améliorer son bien-être et celui de ses quatre enfants, Aurélie Capdevielle s’est vite rendu compte des extraordinaires bénéfices que peut apporter au quotidien une alimentation équilibrée.
C’est ainsi qu’elle a voulu partager son expérience, en devenant coach bien-être et membre de l’Agence internationale des professionnels du mieux-être.
« Simplicité », « rapidité » et surtout « plaisir » sont ses mots d’ordre. Elle donne aujourd’hui des conférences autour de sa devise : « Manger mieux pour vivre mieux ».