« Il en est ainsi dans “les jardins où coulent les ruisseaux“ On découvre une luxuriance et même une luxure. La végétation va parfois, souvent, en lignes irrégulières, cela fait bon ménage avec une herbe compréhensive, habituée, pas de contraintes, pas de fatigues inutiles, on grandit ensemble gentiment, dans un roucoulement profond et continu de l’eau. »