Un dialogue entre deux êtres en lutte contre les préjugés, le conformisme, deux êtres en rupture, deux solitudes. Leur perception du monde est plus viscérale que cérébrale : Elle et Lui sont des « intuitifs », ils se méfient de la raison « raisonnante » trop souvent « déraisonnante ». Ils savent qu’on ne sait jamais grand-chose. Une question les taraude : sur le front des hommes, les stigmates de la « bêtise » et de l’égoïsme sont-ils indélébiles ? La vanité humaine – un pléonasme sans doute ! – tel est peut-être à leurs yeux le plus grand fléau pour l’humanité. S’il leur est difficile de croire en l’homme, en son devenir, Elle et Lui n’oublient pas qu’il ne faut jamais cesser de Croire… de croire surtout en la Vie…