Les Ă©mois dâun puceau, dĂ©niaisĂ© par sa tante, follement amoureux de sa cousine au visage ingrat...
« GĂ©nĂ©reuse, ardente, dĂ©moniaque, ma tante mâinitia Ă bien des mystĂšres, Ă bien des positions et Ă bien des usages, notamment celui de la langue qui, au-delĂ de la rhĂ©torique, se rĂ©vĂ©lait un redoutable instrument de plaisir. Autant pour en prendre que pour en donner. Mon sĂ©jour linguistique prenait une tournure inattendue et loin de me dĂ©plaire. Je terminais mes nuits au petit matin, vidĂ© de toute mon Ă©nergie par Olivia... »
Patrick Bent nous entraine dans ces deux histoires dâinitiation au plaisir qui sâentremĂȘlent avec une prose assagie et Ă©vocatrice. Chaque ĂȘtre humain porte un masque intĂ©rieur pour cacher sa laideur, BĂ©rangĂšre porte un masque qui rĂ©vĂšle sa beautĂ©.