Nouvelle (à énigme) extraite du recueil La Main brune, édité en 1912.
« Il tenait un trousseau de clefs. Le jeune homme s’en saisit avidement, puis, introduisant un couteau sous le scellé décoloré, il rompit la cire. La lampe vacillait et crépitait aux mains de Perceval. Je la lui enlevai et l’approchai de la serrure, tandis que Stanniford essayait successivement les clefs. Il y en eut une enfin qui tourna dans la serrure. La porte s’ouvrit toute grande. Le jeune homme fit un pas dans la chambre. Et poussant un cri horrible, il s’affaissa devant nous, inanimé. »
Traduction : Louis Labat (1867-1947).
Source: https://fr.wikisource.org/wiki/La_Chambre_scell%C3%A9e