Le visage de l'autre est saisi comme le centre même d'une réflexion sur "l'autralité" et sur l'éthique. Dans ce visage divin de "l'autralité", s'affiche une invitation a la responsabilité levinassienne. Ceci pour lui donner satisfaction au visage, l'Autre et Moi, en dépit de leur altérité, une relation du face à face comme fondement du langage s'impose à eux. De ce fait, les droits de l'homme et les droits d'autrui, ainsi que la conception levinassienne de l'éthique et d'autrui permettent à l'homme de retrouver sa dignité humaine. Ainsi, l'homme doit être à l'origine de toute préoccupation répondant à un souci universel car c'est à l'universel qu'il faut sourire afin de donner une dimension éthique à l'homme et de ces droits innés.