Cette nouvelle de magie et de sorcellerie hawaïennes, a été publiée dans la revue Mercure de France en 1900.
Le début : « Keola avait épousé Lehua, fille de Kalamake, le sage de Molokai, et il habitait la demeure du père de sa femme. Il n'y avait pas d'homme plus rusé que ce prophète ; il lisait dans les étoiles, il prédisait d'après le corps des morts et en ayant recours à des esprits mauvais il osait aller seul dans les parties les plus élevées de la montagne, qui sont le domaine des farfadets, et là il tendait des pièges pour attraper les âmes des anciens. »
Traduction : Eugène Gellion-Danglar (1829-1882)
Source: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k201580z/f595.image