La médiasphère est en train de nous transformer en l’équivalent politique du gérant d’estrade. Oh, nous ne manquons pas d’opinions sur la stratégie du coach/premier ministre, ou sur la composition idéale du premier trio/gouvernement — des opinions, nous en avons vraiment beaucoup. Mais de là à transformer notre indignation en action concrète, il y a un pas que nous franchissons de moins en moins souvent, on dirait.