Ce troisième volume de Subjectiles diffère des précédents. Au-delà des textes monographiques consacrés à de jeunes artistes, on y trouvera quatre relectures ou commentaires de chefs-d’œuvre du passé, des considérations sur la thématique de l’inéluctable émergence du dessin et de la peinture numériques et des prises de position sur le triste sort que la société française réserve à la création contemporaine et à ses acteurs.