Brassens murmuré dans votre oreille par Malicia, une version drÎlement coquine...
« Alors câest ta langue que tu envoies au front, ou plutĂŽt en Ă©claireuse entre ses cuisses qui sâouvrent Ă peine, mais assez pour tâaccueillir, lâair de rien. Tu as perçu lâinvite et tu tâattables, gourmand, sur ce festin de prince ; ta bouche lâenrobe, ta langue la fouille, elle ne peut retenir ce soupir qui tâenchante lâoreille, tu souris, elle va cĂ©der, son bouton sâaffole, son con est en pleurs, ils la trahissent, malgrĂ© elle, tĂȘtue, mutine... Tu souris toujours, tu tâamuses, tu broutes comme un ange diabolique son bourgeon moelleux qui enfle sous ta langue,...»
Malicia sâĂ©panche dans deux lettres Ă un inconnu, lui faisant part de ses difficultĂ©s Ă Ă©crire des scĂšnes Ă©rotiques... pourtant la diablesse sây essaie et elle y rĂ©ussit avec bonheur, le notre...