Ultime déferlante – Le Mascaret dépeint, par touches délicates et précises, l’arc-en-ciel de la vie réminiscente de Maria, paysanne illettrée douée d’une richesse intérieure surprenante. Les émotions qui paraissent à travers la plume de l’auteur expriment sa sensibilité extrême aux mots, au monde ouvert par les mots qui sauvent et qui relient les disparus aux vivants. Ce récit est placé sous le signe de l’eau dévastatrice du Mascaret qui emporte le père, mais surtout l’eau de la Vie, des désirs, des sensations, l’eau des ruisseaux d’enfance, des lessives printanières, l’eau du temps et de la rêverie. Il est une manière de célébrer la poésie du monde.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Passé de la littérature à l’Histoire de l’art, sanctionné par un doctorat, Pierre Miquel a publié deux volumes sur la jeunesse de Victor Hugo. Il est l’auteur de dix-sept volumes intitulés Le Paysage français au XIX siècle – L’École de la Nature, dont Théodore Rousseau – Eugène Isabey et la Marine au XIX – Félix Ziem – Diaz de la Pena – Paul Huet couronné par divers prix, tels ceux de l’Académie française, Élie Faure, ou de l’Académie de Marine…