VERMINE MalgrĂ© son air bourru, je parierais quand mĂȘme/Quâil apprĂ©cie Alcide presque autant que tu lâaimes ,/Et pour mieux prĂ©ciser le fond de ses pensĂ©es,/Il se demande pourquoi vous ĂȘtes si peu pressĂ©s.MILENENe tâarrĂȘte pas lĂ , et comprends mon dĂ©sir /Dâen savoir un peu plus. Allez fais-moi plaisir,/Pardonne mon impatience continue je tâen prie./Je voudrais ĂȘtre sĂ»re que tu lâaies bien compris./Il nâest pourtant pas vieux mais parfois il oublie,/Surtout quand il a bu, ce quâil croit accompli./Tu me diras aussi ce quâil pense de La Tanche./Avant quâil ne dĂ©couvre de quel cĂŽtĂ© je penche./Le manĂšge de ce nigaud pour connaĂźtre sa cote,/Lâoblige Ă me faire croire quâavec toi il fricoteâŠ/Surtout reste discrĂšte, ne montre pas trop tĂŽt,/Quâentre Alcide et lui il nây a pas photo.