« ... Ce matin, j’ai de la rosée le sédiment brûlant. Et c’est ton chant, celui qui m’enchantait, qui m’enchante encore. »
« Ancien pompier, tout feu tout flamme, feu mon grand-père, imberbe, à la Sainte-Barbe, incinéré. »
« ... Des vers qui font danser ma bohème à leurs échos feutrés. J’ai l’idée d’un poème d’une force démesurée. J’ai l’envie d’un poème pour l’humanité. »
En sept périodes, une façon de poésie tous azimuts : des styles entrechoqués, des couleurs disparates, des rimes d’asphaltes gris et des envolées de saison. Un peu de tout, beaucoup de tout, et deux doigts de rien. Ça ressemble à la vie.