Extrait : "Le grand malheur de la critique, Ă part l'ignorance et la mauvaise foi, est de juger toujours l'Ćuvre qui vient de paraĂźtre en l'isolant du faisceau littĂ©raire dont elle fait partie ; voilĂ pourquoi il n'y a d'apprĂ©ciation exacte de l'Ćuvre d'un homme que lorsque cet homme a cessĂ© de vivre : encore faut-il que Dieu lui ait donnĂ©, jusqu'au dernier, les jours dont il avait besoin pour achever son Ă©difice ; car, s'il est mort trop tĂŽt, le monument qu'il avait..."