« Vague qui approche la dune
ParĂ©e de dentelles dâĂ©cume,
Tu moutonnes et ondules,
Telle une féminine chevelure.
Majestueuse, douce ou furibonde,
Car trop capricieuse et vagabonde,
Tu rappelles cette femme du monde,
MuĂ©e par mythe en femme de lâonde :
La SirĂšne, cette crĂ©ature de rĂȘve,
De fantasme, de folie et de fiÚvre. »
Recueil poĂ©tique consacrĂ© Ă lâart et Ă lâamour, Chants de Sylphide nous ouvre les portes dâun univers musical et mĂ©lancolique.