Sur les plaisirs du temps partagĂ©s dans les larmes, OĂč, joyeux, les Ă©gaux Ă©claboussent nos ciels, Dans lâamour des futurs oĂč lâinfini des mots Se meurt Ă la passion du temps quâil reste Ă vivre. Un instant suffira pour que le corps sâen aille AuprĂšs de troubles dieux gavĂ©s de leurs doctrines, Pour que lâĂąge en sursis devienne un Ă©ternel Par devant les mystĂšres de la vie et sa mort.