divisible par zéro est la chronique d’une rupture annoncée qui fait porter sur le langage son handicap. Tour à tour enragés en silence, scandaleusement zen ou empêchés, ces poèmes tentent de saisir un assemblage d’angles et de lignes, une configuration destinée à la dislocation, pour en extraire quelque neuve tangente improbable. La lecture se fait glissante. Elle se meut, exigeante, étonnante, rythmée par une ponctuation par endroits choquante, portée par une voix qui se démantèle et s’invente.