Je sentis l’atmosphère de la pièce changer lorsque nous y pénétrâmes, nos langues affamées se goûtant l’une l’autre pour une séance prolongée de roulage de pelles. J’entendis un froissement, un mouvement, puis tout le monde autour de moi trouva un partenaire avec qui être intime, un partenaire à embrasser, à toucher, à tenir. On écarta doucement les cheveux dans ma nuque et une bouche chaude se posa juste sous mon oreille ; mes genoux fléchirent et Katie dut me rattraper pour m’éviter de tomber, gloussant délicieusement. J’étais sûre que c’était Caleb qui m’embrassait et même cela – être touchée par deux personnes qui n’étaient pas mon mari alors que ce dernier faisait Dieu seul savait quoi avec Dieu seul savait qui – suffisait à rendre mon sexe plus humide que la normale....