Un livre blanc. Un livre oĂą tout serait possible.
Violette en rĂŞve.
Un livre qui, à chaque page immaculée, livrerait son mystère. Un livre de la sensation, où l’emportement des mots n’aurait plus sa place. L’érotisme, la pudeur, la prudence, l’exaltation, l’imprudence, le désarroi seraient libérés de leur hantise derrière la nudité des pages. Le non consentement aux mots. Enfin. Un livre qui signerait la fin de l’écriture.
Son livre.
Son livre blanc teinté d’encre violette.
Violette en rĂŞve.