Dévergondages, fessées et pétarades, entre autres, relatées par une fillette passablement délurée...
« Et mâĂ©cartant les fesses, elle me cingla la chair Ă lâendroit coupable, sur les parois mĂȘmes du trou indiscret. Je rugis, je me tordis. Il fallut toutefois supporter aussi le fouet dans cette partie sensible, aprĂšs avoir eu les fesses et les cuisses toutes meurtries. Le sang coulait, le balai Ă©tait brisĂ©, ma tante Ă©tait fatiguĂ©e de me fouetter, elle cessa enfin la correction, mais avant de me laisser aller, elle se fit apporter un bol rempli de vinaigre et mâĂ©pongea le derriĂšre. La cuisson fut horrible. Ma croupe fit alors un si brusque mouvement que le bol de vinaigre sâĂ©chappa des mains de ma tante et que je me relevai et mâenfuis au milieu des rires des gens du village qui venant Ă passer devant le jardin avaient assistĂ© Ă ma correction et sâen Ă©taient divertis. »
Dans ce couvent de novices impudiques on trouve les figures du tribadisme les plus dĂ©bridĂ©es. Nâest-ce point pĂ©cher ? DĂšs lors, le vice doit ĂȘtre chĂątiĂ©. Les chĂątiments sâimposent pour dresser les rĂ©calcitrantes, remettre dans le droit chemin les dĂ©viantes, les joyeuses, les petites amoureuses du plaisir enfantin. Alors la fessĂ©e corrige, les martinets entrent en action, les badines sâabattent sur les jolis petits culs, mais, comble dâironie diabolique, lâĂ©ducation fĂ©roce mĂšne aussi Ă la jouissance. (Extrait avant-propos de Franq Dilo)