La petite musique intĂ©rieure du journal se poursuit durant les annĂ©es 2001 Ă 2003, avec des thĂšmes diffĂ©rents et dâautres dĂ©jĂ traitĂ©s et repris sous un angle nouveau qui montre que la banalitĂ© dâune existence nâest pas obligatoirement synonyme dâuniformitĂ© et dâinsignifiance.