L’ablation permanente de la culotte de Lucienne autorise les assauts réitérés de son bougre d’époux doté d’un organe époustouflant.
« Lucienne toute rougissante, bouleversée, se dit qu’elle allait enfin connaître l’amour, et subir les délicieux assauts de ce mari si jeune qui la regardait avec convoitise. Elle contemplait la bouche gourmande, les mains épaisses et carrées qu’elle imaginait pétrissant sa chair opulente... »
Plus c’est gros, meilleur c’est. Et ce n’est pas une remarque en l’air au sixième degré. Non, c’est du premier degré rural ! Et cré vinguieux, la Lucienne, c’qu’t’es bonne ! Ho Sainte-Vierge, mon Armand, c’que c’est gros !