Une réflexion littéraire sur l’inspiration L'univers stendhalien reexploré avec sensibilité Il y a de la folie et de la déraison dans cette volonté prométhéenne qu'ont les hommes de vouloir créer des univers, des personnages et des histoires. Ecrire n'est pas une thérapie, ni même un simple témoignage. C'est une exigence, un besoin, un élan vital. Le goût des mots, l'émotion qu'ils suscitent, l'imagination qu'ils excitent sont nécessaires. La maladie de Stendhal est le récit d'une émotion esthétique, vécue à son paroxysme, conduisant aux limites de la déraison. Hermann Orlowski connaît l'effroi et l'enchantement de cette forme d'envoûtement.