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Le réchauffement climatique et la fin inéluctable des énergies fossiles ont fait de <strong>la performance énergétique du bâtiment</strong> un enjeu majeur. La consommation de chauffage, inutilement élevée, constitue un gisement d'économies et, parallèlement, <strong>l'amélioration de la qualité de la construction</strong> dans le respect de normes est un défi que les métiers du bâtiment se sont engagés à relever. Deux outils se distinguent qui contribuent à la performance et assurent son expertise : l'infiltrométrie et <strong>la thermographie.</strong>
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Cette dernière n'était pas encore formalisée ; c'est l'objet de cet ouvrage. La matière émet un rayonnement parfois visible (corps chauffé au rouge, flamme,...) mais le plus souvent invisible. Comme il est dû à la température de la matière, on l'appelle rayonnement thermique. Au moyen de la caméra thermique, la thermographie cartographie les rayonnements : c'est l'image thermique - et elle les mesure : c'est le thermogramme. La maîtrise de la thermographie conduit à la cartographie des déperditions radiatives et à <strong>la caractérisation quantitative des défauts de l'enveloppe.</strong>
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L'ouvrage contient les principes, les applications et, surtout, les outils d'interprétation des thermogrammes. L'auteur y explique dans le détail <strong>l'approche que doit impérativement maîtriser le thermographe</strong> sous peine d'interprétation erronée, un risque omniprésent en thermographie du bâtiment.
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