Chez les Kellerman, on a le policier dans le sang
Une enquête pas très orthodoxe
Le lieutenant Decker se voit confier une affaire de double homicide, commis dans un quartier chic de Los Angeles. Les victimes, des femmes, menaient une vie en apparence sans histoires. Mais si Decker a appris une chose au cours de sa carrière, c’est que tout le monde – plus peut-être à Los Angeles qu’ailleurs – dissimule sa part d’ombre derrière une façade de respectabilité. Les faits lui donnent bientôt raison : Adrianna, l’une des victimes, appartenait à un cercle où sexe, violence et argent se mêlent dangereusement. De quoi orienter l’enquête vers l’entourage de la jeune femme, même si Decker devine que cette affaire, qui fait sérieusement de l’ombre aux palmiers de la Cité des Anges, est bien plus qu’une simple histoire de luxure et de dollars. Le Cercle des disparues révèle l’envers du décor des quartiers chics de Los Angeles. Le policier Peter Decker porte un regard lucide et sans moralisme sur l’humanité tourmentée et sombre que son métier lui fait côtoyer. Les amateurs retrouveront dans ce roman ce qui fait l’originalité de Faye Kellerman : la façon dont le héros conduit l’enquête, mais aussi un épisode de sa vie privée au sein de sa famille juive orthodoxe, avec son humour, ses rituels, son atmosphère chaleureuse. A propos de l'auteur : Faye Kellerman est la femme du romancier Jonathan Kellerman, classé dans les listes des meilleures ventes du New York Times. Ils partagent leur vie entre Los Angeles, en Californie, et Santa Fe, au Nouveau-Mexique. Traduction de l’anglais (Etats-Unis) par Marc Rosati