Dans la famille trio-de-poêle, on sacrifie au culte de Thérèse... cette fratrie lubrique pratique avec ferveur et profondeur jusqu’à l’obsession...
« Le lendemain, le soleil tapait à plein. Chantonnant, échangeant des plaisanteries gaillardes, les frères travaillèrent dur en compagnie de leur sœur. Vers midi, rouges et en sueur, ils finissaient de charger la charrette, quand les deux hommes renversèrent Thérèse sur le tas de foin. Couchée sur le ventre, sa blouse remonta. Elle avait écouté Victor. Son fessier rebondi s’offrit aux yeux des gars. Thérèse sentit les grosses mains calleuses caresser ses fesses, puis les pétrir... »
C’est un duo de dames qui nous a concocté cet élixir rural à la rugueuse saveur gaillarde. La paillardise sous leurs plumes débridées prend les formes d’un plaisir de lecture trop bref. C’est band.., on en redemande !