« Anne sentait un peu son petit monde lui Ă©chapper, comme si elle glissait sur une pente savonneuse... Tout cela la dĂ©passait, mais elle percevait le danger intrinsĂšque de la situation et elle en avait peur. Fini le temps oĂč elle jouait Ă la poupĂ©e, insouciante de tout ce qui pouvait arriver... »