â Je ne comprends pas, mon enfant, dit le vent, Pourquoi donc es-tu si pressĂŠ ? â Je dois me presser, rĂŠpliqua l'enfant, car très bientĂ´t le monde oĂš je vis va disparaĂŽtre et je veux vite arriver au-delĂ de ces montagnes oĂš la vie existe vraiment et oĂš les enfants sont encore des enfants et font des jeux d'enfants.