LâactualitĂ© de la pandĂ©mie de Covid 19 en marche dĂ©but 2020 aprĂšs avoir dĂ©ferlĂ© sur le monde atteint lâAlsace et Strasbourg. La peste virale a rapidement entrainĂ© dĂšs le week-end du 15 mars la rĂ©duction puis lâannulation de lâessentiel de lâactivitĂ© sociale, Ă©ducative, Ă©conomique et culturelle et touchĂ© Ă©galement lâUniversitĂ© de Strasbourg, en particulier la FacultĂ© de MĂ©decine qui pour sa part a optĂ© pour le tĂ©lĂ©enseignement. Strasbourg sâest vidĂ© rapidement et des conditions trĂšs Ă©tonnantes se sont Ă©tablies, dues au confinement, vocable servant Ă Ă©viter le terme honni de couvre-feu, la rarĂ©faction des contacts sociaux, lâesseulement des individus faisant de ceux-ci de potentiels acteurs autant que de possibles victimes. Lâagression dâune jeune Ă©tudiante en mĂ©decine au centre de Strasbourg en est un exemple frappant. Le « Viol de Corona » en retrace les tribulations. Bien sĂ»r chacun croira y reconnaitre comme dâhabitude son voisin, sa connaissance. Les ressemblances ne sont pas fortuites, les lieux reconnaissables de mĂȘme que les faits pourraient ĂȘtre avĂ©rĂ©s.