Le parfum vĂ©nĂ©neux de ces fleurs du mĂąle emprisonne la bĂȘte Ă deux dos...
LA TRES CHERE Ă©tait nue, et, connaissant mon cĆur...
Que fous-je Ă poil en ce baldaquin branlant, oĂč est mon kimono de catin, se disait la Belle ravie, et pas mĂȘme un bout de chandelle pour mâastiquer la rondelle !
Fantasmagorie littĂ©raire, feux dâartifice, conte oriental et commentaire dâun poĂšme de Baudelaire comme vous nâen avez jamais lu, tel est le festival auquel nous convie Claude Soloy dans une brillance stylistique inclassable, mĂȘlant lâart de lâimage raffinĂ©e Ă lâexpression de caniveau la plus basse. Un rĂ©gal absolu !