"... On préparait l’enterrement de Sidi Bou’azza. Le vieil homme était mort après s’être fait renversé en allant au souk faire ses courses... Il avait pris l’habitude de s’y rendre, de parcourir à pieds les trois cents mètres qui le séparaient de chez lui. Ce mardi là, il avait eu le malheur d’arriver au croisement de la route de la poste et de celle du marché, au même moment que le fils Boualem..."
La mort du vieil homme va bouleverser la vie d'un jeune professeur français de philosophie.
Nietzsche nous enseigne que le vivant est traversé par des rapports de force permanents qui sont au fondement des relations humaines, jusqu'à ce que la Volonté Créatrice lui assigne un sens supérieur.