Les Joies jaunes est la première rencontre ou disons le premier cri poétique de Richard Muanda. Quelque part
« entre la fin d'une idylle adolescente et la prise de conscience de certains horizons cyniques et austères qui sont si propres à l'existence des êtres sensibles ».
La couleur jaune se réfère au soleil pour représenter le jour de l'illumination poétique mais aussi le fait que lorsque l'on rit jaune, on ne rit pas véritablement. Une indicible peine se dissimule toujours un peu dans la fente de notre sourire. Ainsi Les Joies jaunes dansent entre complaintes et célébrations de la vie, dans ces événements les plus succincts comme les plus horribles.
Les thèmes du recueil sont divers, certains d'été et d'autres d'hiver...