CĂ©rĂ©monials des jeux de lâamour et du bazar... jusquâĂ lâĂ©pilogue... sanglant.
LA PORTE SâOUVRE SUR ALICE entiĂšrement nue, magnifique. Ă peine commencĂ©-je Ă admirer ce chef-dâĆuvre quâelle repousse le battant et me bande les yeux avec un foulard de soie. Ma jeune amie me guide alors jusquâau fauteuil dans lequel elle mâassoit aprĂšs mâavoir dĂ©shabillĂ©. Je lâentends sâĂ©loigner Ă pas feutrĂ©s puis, au grincement du sommier et au bruissement des draps, jâimagine quâelle sâest Ă©tendue dans le lit Ă quelques mĂštres de moi.
Quelques minutes sâĂ©tirent, imperturbables, rythmĂ©es par le souffle rĂ©gulier de nos respirations.
Patrick Bent nous décrit une haletante progression du désir devant son objet qui se dérobe au cours de cérémonials exacerbant les cinq sens. Du suspense, du teasing... !