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Mes mails et lettres délirantes

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Ainsi donc tu nous quittes, tu nous abandonnes lâchement à notre triste sort.

Ha que c’est triste ! Même si c’est pour te permettre de prendre un nouvel essor.

Tout suffocant et blême, quand sonne l’heure des adieux, je me souviens des jours anciens et je pleure ton départ dans l’hiver frileux.

Tu nous laisses au vent mauvais, qui nous emporte de-ci de-là, pareil à des feuilles mortes.

Te rends-tu compte qu’en plus de tous tes collègues, ton départ va horriblement perturber les mouches au printemps prochain, qui ne retrouveront plus leur piste d’atterrissage favorite ?