Les gens ont besoin de héros, expliqua Homère. Ils ont besoin de mythes. Ils ont besoin de voir la beauté chez les autres pour rester eux-mêmes humains. Qu’est-ce que je vais leur raconter ? Eh bien... une légende. Celle d’Artyom.
2035. Artyom est retourné vivre à la station VDNKh. C’est un héros brisé, obsédé par l’idée que c’est à la surface qu’est le salut de l’humanité. Les Noirs anéantis, un souvenir le taraude, celui de la voix qu’il a entendue sur une radio militaire, deux ans plus tôt, quand il était au sommet de la tour Ostankino avec les stalkers. Aussi, depuis son retour, il remonte quotidiennement à la surface et escalade des gratte-ciel en ruine pour tenter d’entrer en contact avec des survivants. Tenu pour fou, Artyom sombre peu à peu.
Mais l’arrivée d’Homère bouleverse la situation : le vieil homme prétend en effet que des contacts radio ont déjà été établis avec d’autres enclaves.
Ce dernier opus de la trilogie, point de convergence de toutes les trames narratives de la série, est époustouflant !