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Mouny-Robin

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Extrait : "L'autre soir, Ă  l'OpĂ©ra, j'Ă©tais placĂ© entre un bourgeois de Paris qui disait, d'un air profond, au second acte du FreyschĂŒtz : – Faut-il que ces Allemands soient simples pour croire Ă  de pareils sornettes ! – Et un bon Allemand qui s'Ă©criait avec indignation, en levant les yeux au ciel, c'est-Ă -dire au plafond : – Ces Français sont trop sceptiques ; ils ne conçoivent rien au merveilleux."