Myriam vit avec son passĂ© comme on vit aux cotĂ©s dâune vieille mĂšre encombrante. Avec tendresse et embarras. Elle trouve dans les bras dâun homme une saveur longtemps oubliĂ©e : le goĂ»t de la vie et de lâamour. Christelle Voillequin analyse la lente reconstruction dâune femme meurtrie dans un style subtil et sincĂšre. Elle dissĂšque avec finesse les nuances et les ressorts du bonheur, complexe et imprĂ©vu.