« CouchĂ© et dĂ©chirĂ©, arrachĂ© et rompu... tu nâes que lâombre de toi-mĂȘme ! Et tu nâas que les heures Ă tronçonner le temps, en coupes, en crĂȘtes succombĂ©es, en arceaux saccagĂ©s, oĂč... nous tisserons les nids, les chants de nos mĂ©sanges, les sentes pour les grives dans les herbes couchĂ©es. Inventerons les dunes en coeur dâamants, en corps dâamande, enfouies sous sables Ă©parpillĂ©s. »