"L’un des rares survivants d’Ozarow, Hillel Alder, né en 1920, traduit avec émotion et amour, la vie de son village natal.
Il dépeint avec réalisme et humour la vie juive de son Shtetl polonais anéanti par les nazis. Il fait revivre sous nos yeux les habitants, leurs coutumes, les fêtes, les événements qui rythment la vie d’Ozarow. On ressent la pauvreté, l’antisémitisme, la spiritualité, les tendances politiques et la solidarité juive.
Il décrit, avec le regard de l’enfant et de l’adolescent qu’il était, sa famille, ses voisins et amis disparus dans la tourmente.".