« Paperasses » est un joyeux fourbi. Des personnages anonymes y opĂšrent le tri dâun tas de papier : des textes surgissent dâune boĂźte. La question de qui les a produits nâest pas trĂšs claire, il faut naviguer dans tout ceci. Par pur plaisir, espĂšre-t-on.Ce dĂ©sordre est naturellement construit. Un corps de texte, dans lequel les dialogues sont engluĂ©s. Un espace guillemet donnant et questionnant le caractĂšre littĂ©raire. Un espace parenthĂšses, dans lequel lâauteur nĂ©cessaire mais problĂ©matique sâessaye Ă disparaĂźtre.