On m’a dit « Parkinson » et ma vie en a été bouleversée, celle de mes proches aussi.
J’ai connu la peur, la solitude, le regard des autres, la souffrance, d’angoissants égarements.
J’ai également connu la joie, de merveilleux moments de tendresse, l’amour.
Chaque maladie est unique, mais toutes répondent aux mêmes règles, implacables.
Alors, pour faire face à mon désarroi, il m’est venu l’idée d’écrire un roman, une sorte de « road-book », pour briser la solitude et mieux vivre, au jour le jour ma vie de Parkinsonien.
J’ai choisi l’humour en paravent de mes douleurs.
J’ai choisi les poètes pour la beauté sublimée de leurs pensées, quand les mots me manquaient.
Personnages et situations sont véridiques, ils puisent leur authenticité dans la vie quotidienne.