De quelques noyaux d’atomes légers issus du « Big Bang », l’univers prit place. Et, en son sein, des milliards d’années après, apparut l’homme, capable entre autres de conscience, de discernement et d’amour.
Ne serait-ce pas cela la finitude absolue de toute chose, l’amour ? Que peut-il y avoir de plus évolué que le sentiment d’amour ?
« Je sais pourquoi
Je veux être poète
Car je hais mon moi
D’amours en quête,
Qu’importe mes sens,
Je les veux ivres morts !
Voilà ce que je pense
De mon seul sort... »